Nutrition

Aujourd’hui, les enfants mais aussi les adultes vont fêter Halloween. Il va y avoir une profusion de bonbons. Certains peuvent représenter un danger pour la santé. En effet, la réglisse souvent très présente dans les confiseries peut être problématique surtout pour ceux souffrant d’une pathologie cardiaque, rénale. La réglisse est une plante dont on utilise la racine pour extraire des composés sucrés comme la Glycyrrhizine. Ils peuvent entrer dans la composition de nombreux produits alimentaires, boissons, bonbons, tisanes, glaces, snacks. Dans la bière, la réglisse est utilisée comme agent moussant, pour atténuer l’amertume, pour colorer la bière brune. Qu’est ce que la réglisse ? Cette plante médicinale est connue depuis la nuit des temps pour ses multiples vertus. Elle favorise la digestion et l’immunité en cas d’infection. La réglisse peut se consommer en bâton mais le plus souvent elle est réduit en poudre et commercialisée sous forme de compléments alimentaires. Elle est aussi très présente en pâtisserie, en confiserie. Si l’on respecte les doses recommandées, les effets indésirables sont rares. Prise en trop grande quantité, la réglisse peut provoquer une élévation de la tension artérielle, une chute de potassium voire une crise cardiaque en cas de consommation trop importante et sur une durée prolongée. La réglisse est à éviter chez les enfants, la femme enceinte ou allaitante, tous ceux souffrant d’hypertension, de maladie du foie ou ceux qui doivent subir une intervention chirurgicale. Des bonbons à éviter Halloween est tout proche, les enfants vont partir en quête de bonbons ou délivrer des sorts. La réglisse noire représente un risque pour les dents mais aussi pour la santé. Et si dans le sachet de bonbons se cachait des dangers ? Un maître de conférence de l’université de Bristol explique dans The Independant que certaines confiseries sont à éviter. Les organismes de santé fixent un repère, il ne faut pas dépasser 100 mg de glycyrrhizine par jour pour un adulte soit environ 50 g de réglisse. Si vous souffrez d’une pathologie cardiaque ou rénale, la réglisse est à bannir. Pour que la soirée d’Halloween ne se transforme pas en moment de frissons trop intenses, oubliez les bonbons au réglisse et privilégiez les autres sucreries. Attention tout de même, les bonbons sont des  » bombes de sucre » et ils doivent être consommés que de temps en temps.

Ils sont très présents dans notre quotidien et souvent très attrayants. Ils occupent une place de plus en plus importante dans nos repas. Les produits ultra transformés représentent 1/3 des calories consommées chaque par les Français. Ces aliments auraient un impact nocif sur notre santé, maladies cardiovasculaires, diabète, obésité, cancers, troubles dépressifs. Ces produits se cachent dans les étals de nos supermarchés là ou on le soupçonnerait pas. Il est essentiel de bien lire les étiquettes avant de craquer. Comment les repérer facilement Soupes en briques, jus de fruits, yaourts, pains de mie, gâteaux, steak végétal…, tous ces produits peuvent contenir des additifs, des colorants, des arômes artificiels, des substances modifiées. Ils ont tous subi de multiples transformations. Pour rester en bonne santé, il faut apprendre à bien lire leurs compositions et fuir tous ceux qui contiennent trop d’émulsifiants, conservateurs, exhausteurs de goût comme le glumate connu sous le code E621, des sirops de glucose, des amidons. Les produits ultra transformés sont généralement très attrayants de part leurs formules  » allégé »,  » sans sucre ajouté », « riche en protéines ». Toutes ces formulations peuvent pourtant cacher des substitutions complexes nocives pour notre santé. D’où la nécessité de prendre en compte le nutri score. La plupart des aliments ultra transformés obtiennent un nutri score allant de c à E. Selon un médecin cité par  » 20 minutes », plus de la moitié de ces produits seraient en effet notés A ou B au nutri score. Privilégier des aliments bruts Il faut rester vigilant et cuisiner des produits dits naturels comme les fruits, les légumes. Depuis déjà quelques années, les produits ultra transformés occupent une place prépondérante dans notre alimentation. Lorsque vous lisez les étiquettes, plus la liste est longue et plus les aliments sont transformés. Ils sont donc à consommer de temps en temps. Il convient de se méfier des emballages trop colorés, des portions individuelles. Certaines céréales pour le petit déjeuner destinées principalement aux enfants sont en réalité  » des bombes de sucre ». L’impact sur la santé est n oc if. Il est vrai que tous ces produits sont très pratiques. Il suffit d’ouvrir le sachet, de faire chauffer au micro onde et le tous est joué, vous avez votre repas. Pourquoi ne pas prendre quelques minutes et cuisiner des aliments sains, vous ferez des économies et votre santé sera préservée.

La pleine saison des courges est lancée. L’automne évoque les balades en forêt, les feuilles qui tombent, les parfums qui s’échappent des marmites fumantes. Le potiron est actuellement le légume star des étals sur les marchés. Avec sa couleur orangée, son goût légèrement sucré, il séduit petits et grands. Pourquoi ne pas tester une délicieuse marmelade de potiron ? Cette tradition française incarne à elle seule un moment de grande convivialité. Etes vous prêt à goûter cette marmelade irrésistible ? Une jolie douceur à tartiner Souvent comparé à la citrouille, le potiron est pourtant très différent. Ce sont deux espèces très distinctes. D’origine tropicale, le potiron a besoin de chaleur pour sortir de terre. Aujourd’hui, on le retrouve un peu partout en France. Il se garde plusieurs mois dans un endroit frais, sec et aéré. Entamé, on peut le garder quelques jours dans le bac à légumes du réfrigérateur. Emblématique légume de l’automne et de l’hiver, le potiron et les courges se dégustent de plusieurs façons, en gratins, en soupes, en soufflés, en tartes et même en marmelade. Il regorge de nutriments riches en antioxydants. Il peut jouer un rôle essentiel pour la santé immunitaire et le bon fonctionnement des organes. Même les graines du potiron renferment des nutriments. N’oubliez pas d’ajouter le potiron à votre alimentation quotidienne. Une marmelade de potiron à l’ancienne Vous rêvez d’un petit déjeuner chaleureux avec du bon pain, une brioche fondante, une bonne marmelade. Avec celle de potiron, vous allez vous replonger dans l’enfance. Sur une tartine, dans un yaourt, la marmelade de potiron est un vrai plaisir gustatif. Couper le potiron en petits cubes et ajouter du sucre, des épices, le jus et le zestes de deux citrons et laissez macérer toute une nuit. Il vous faudra pour la recette -1kg de chair de potiron -700 g de sucre cristallisé -2citrons jus et zestes -1 gousse de vanille -vous pouvez rajouter si vous aimez une étoile de badiane, un petit morceau de gingembre -le matin, faîtes cuire le mélange et laissez mijoter -dès que la marmelade nappe la cuillère et que le sirop s’épaissit , c’est prêt -mixez la marmelade et mettez en pots Pour préserver votre marmelade, misez sur des pots parfaitement stérilisés La réussite de cette marmelade tient avant tout dans le choix du potiron qui doit être bien mur avec une chair sucrée et dense. Vous allez vous régaler.

Avec le retour de l’automne, de la pluie, du froid, la salade de tomate mozzarelle n’est plus d’actualité. Nombreuses sont les personnes qui ont déjà ressorti l’appareil à raclette, à fondue. Il est grand temps de redécouvrir les bons petits plats réconfortant. Il est bien difficile de résister à une bonne raclette. Pour tous ceux qui affectionnent le fromage, la Savoie reste le département ou les recettes gourmandes sont les plus représentatives. Faîtes vous plaisir avec l’une des délicieuses spécialités savoyardes. Pour se régaler en famille, entre amis ou en solo La France est un pays ou les fromages sont très nombreux. Pourquoi ne pas se laisser tenter par une bonne raclette et son plateau de charcuterie. Si vous êtes seul, pas de panique, optez pour le Potchon. Cette spécialité est à base de pommes de terre, de vin blanc, de crottins de chèvre, de sauce tomate et elle est servie dans des ramequins individuels. Vous êtes en famille, vous recevez des invités, quoi de plus convivial qu’une bonne Matouille ? Ce plat est typiquement savoyard. On déguste de la charcuterie avec une grosse tomme de Savoie piquée à l’ail et passée au four et arrosée de vin blanc. C’est copieux, gourmand et délicieux. Le Farcement est aussi une option à envisager. Dans un plat en forme de dôme se mêle des pruneaux, des lardons, des poires séchées, des pommes de terre, de la crème fraîche. On accompagne le plus souvent ce plat avec une bonne salade verte. Le pays savoyard réserve bien des surprises gustatives qui régaleront petits et grands. Pourquoi ne pas cuisiner une tarte au reblochon ? Vous avez eu une journée éreintante et franchement vous n’avez pas envie de vous lancer dans une tartiflette. La tarte au reblochon vous tente, c’est une alternative simple mais tout aussi délicieuse. Vous aurez besoin,

Elle représente le dessert de l’automne par excellence. D’origine nord américaine, elle est préparée traditionnellement à Thanksgiving ou à Noël. Avec ses senteurs légèrement épicées, cette tarte est un vrai délice et elle va embaumer toute la maison. Ce classique de la pâtisserie américaine, c’est bien plus qu’un simple dessert. Composée de gingembre, de cannelle, de clous de girofle, la tarte à la citrouille marie à merveille la douceur du légume et l’intensité des épices. Un dessert qui a franchi les frontières L’automne est bien là tout comme la fête d’Halloween qui se profile dans quelques jours. Pourquoi ne pas déguster une bonne tarte à la citrouille pour fêter l’évènement ? Lorsque l’on évoque ce dessert, on voyage outre Atlantique ou cette tarte est devenue un incontournable des tables de Thanksgiving. La citrouille originaire d’Amérique centrale a été introduite en Europe au XVIème siècle. Les recettes de la tarte ont évolué avec le temps. En effet, des épices sont venues parfumer ce dessert. Une pâte brisée ou feuilletée vient aussi sublimer la citrouille. Cette tarte est étroitement liée à Halloween, à l’automne. Elle régalera petits et grands. Ce dessert est devenu une façon populaire d’utiliser la chair de citrouille. Celle ci peut se cuire de différentes façons, au four, au micro ondes, à la vapeur. Pour mettre en valeur ce légume doux et sucré La tarte à la citrouille a franchi les frontières et elle se retrouve aujourd’hui sur nos tables dès l’automne et pour Halloween. Pour une tarte réussie et savoureuse, il vous faudra

Les crêpes restent l’un des desserts préférés des Français. Elles s’invitent au dessert, au goûter, en plat lors de diverses occasions. Une fête lui est même consacrée, la chandeleur le 2 février. Nature, au chocolat, au sucre, avec de la confiture, salée, elle ravit tous les palais. Les raisons de son succès, la facilité de préparation et son côté économique. A l’origine la chandeleur était une fête païenne ou l’on célébrait la lumière et la fertilité. Des milliers de crêpes sont dégustées en France chaque année. Un mets simple et délicieux La crêpe plait autant aux petits qu’aux grands. Nous avons l’embarras du choix pour garnir nos crêpes pourtant les Français ont tout de même leurs préférences. Selon une enquête Harris, Nutella arrive en tête de liste avec plus de 57%, la crêpe au sucre est aussi très prisée. Croustillante ou moelleuse, sucrée, salée, il y en a pour tous les goûts. La crêpe ou galette reste l’emblème de la Bretagne. Les chiffres parlent d’eux même, sucrées ou salées, les crêpes séduisent un large panel de consommateurs, plus de 85% des femmes, des jeunes de 18 à 34 ans plus de 84%. La plupart des amateurs de crêpes privilégient la pliure en triangle 62% devant celui en rouleau 31¨%. Quelque soit la forme, la garniture, la recette, la crêpe n’a pas fini de nous régaler. La « recette doudou » de Cyril Lignac On a tous une madeleine de Proust enfoui dans nos souvenirs d’enfance. Pour Cyril Lignac, les crêpes de sa maman sont à l’honneur. Selon le pâtissier, la recette parfaite pour rendre les crêpes légères,  » elle mettait de l’eau dans sa pâte à crêpe ». Il faut baisser la quantité de lait et la remplacer par de l’eau froide. Vous obtiendrez ainsi une pâte très aérienne. Il convient également de tamiser la farine afin d’éviter les grumeaux. On peut aussi mélanger à la farine type 45 ou 55 de la farine de châtaigne, de riz ou de maïs. On vous livre ici la recette de crêpe de la maman de Cyril Lignac.

Ce dessert est assez méconnu pourtant, il mérite un petit détour. Très facile à préparer, il régalera petits et grands. Si vous aimez la tarte aux pommes mais que vous avez envie de varier les plaisirs, pourquoi ne pas préparer une délicieuse pompe aux pommes ce week-end ? Moelleuse, gourmande, c’est l’un des trésors gourmands de l’Auvergne. La recette est transmise de génération en génération et c’est avant tout un dessert simple et très convivial. La pompe aux pommes est idéale pour célébrer les grandes occasions, pour partager de bons moments de convivialité en famille. Quoi de plus agréable que de partager lorsque les températures baissent un bon gâteau bien généreux agrémenté de pommes fondantes ? Ni trop gras, ni trop sucré, la pompe aux pommes, c’est le dessert parfait pour clore le repas du dimanche. C’est aujourd’hui un incontournable des fêtes de villages auvergnat. On peut servir la pompe aux pommes froide ou tiède. Ce dessert est composé de pate feuilletée, d’une compotée de pommes sucrée parfumée avec un peu de liqueur de pommes. Traditionnellement ce dessert est rectangulaire, cuite au four afin de lui donner une belle couleur, une texture ultra fondante. Pour se réchauffer cet automne, pour partager un joli moment de convivialité entre amis ou en famille, pourquoi ne pas goûter ce dessert auvergnat, la pompe aux pommes ? Une gourmandise qui ravira les papilles des plus gourmands L’origine de dessert auvergnat remonterait à plusieurs siècles. Elle était préparée dans les fermes lors des vendanges, des moissons. Les ingrédients qui la composent sont simples, farine, œufs, beurre, sucre, pommes. Dans le Puy de Dôme, dans le village de Durtol, une fête de la pomme aux pommes a lieu toutes les années au mois d’octobre. Il vous faudra pour la réaliser,

Le café reste la boisson la plus consommée au monde après l’eau. Le matin au petit déjeuner, après le déjeuner, à chaque pause au travail, il accompagne le quotidien d’un bon nombre de personnes. Le café est incontournable. Pourtant boire trop de café reste nocif pour la santé. Cette boisson tant convoitée peut entraîner de l’anxiété, des troubles du sommeil, de la tachycardie. Avec le changement climatique, le café possède aussi un lourd bilan carbone. Existe t-il des options moins problématiques ? Connu depuis des millénaires Aujourd’hui la culture du café est menacée par le dérèglement climatique. Pourtant sa popularité est toujours aussi active e. Le café incarne la convivialité, le plaisir, une tradition ancré dans de nombreux pays. Le Français boit en moyenne 500 tasses de café par an. Le marché mondial des capsules a boosté les ventes en 2024. Avec le changement climatique, le café risque fort au fil du temps de devenir une boisson de luxe car rare et très chère. Même s’il est moins dangereux que l’alcool, les drogues, le café est classé parmi les substances psychotropes. On risque en le consommant une légère addiction. Néanmoins une étude australienne menée en 2022 a montré que boire deux ou trois tasses de café par jour réduirait de 20% les risques de maladies cardiovasculaires. Selon l’OMS, la même quantité protégerait de certains cancers. Chicorée, lupin, orge, des substituts intéressants La chicorée est considérée comme un produit vintage sauf dans le nord ou elle est très consommée. C’est un produit plus digeste que le café. Soluble, il suffit d’ajouter de l’eau chaude. La marque référente s’est modernisée et propose des variantes au lait d’amande ou façon cappuccino. Le lupin s’avère être une alternative à prendre en compte. Les graines ressemblent à s’y méprendre aux graines de café. Les marques Arsène et Lupi Coffée se sont lancées dans l’aventure. Le café d’orge avec son goût riche et légèrement malté, des petites notes de noisette peut agréablement remplacer le café traditionnel. Si vous cherchez des saveurs originales, que vous désirez prendre des habitudes plus respectueuses pour la planète, toutes ces alternatives sont intéressantes. Leurs bénéfices pour la santé sont réels. A vous de tenter l’expérience, de trouver la solution la plus adaptée à vos besoins. Le café, oui mais avec modération.

Le miel accompagne souvent le petit déjeuner. Etalé sur une tartine, il régale les gourmands mais est il pour autant un produit sain pour la santé ? Les amateurs de ce nectar doré sont en droit de se poser la question. Les spécialistes ont une réponse nuancée quant à sa consommation. Le miel peut faire partie d’une routine à condition de respecter certaines petites règles. Bien plus qu’un édulcorant naturel, le miel regorge de nutriments, d’antioxydants. On soigne les petits bobos avec les produits de la ruche, c’est l’apithérapie. Rappelons que le miel est interdit aux enfants de moins de 12 mois. Naturel, nutritif, c’est un trésor de la ruche Depuis longtemps, l’homme a compris que les abeilles étaient des alliées. Le miel est connu pour ses vertus antibactériennes, anti inflammatoires et antioxydantes. Aujourd’hui, on s’intéresse de plus près aux nombreuses propriétés de ce nectar. Il existe plusieurs miels aux saveurs très différentes et aux vertus multiples. Lavande, pin, aux fleurs, châtaigner…., chaque produit possède ses propres atouts. Dans de nombreux pays, le miel associé ou non à des plantes est utilisé comme un remède, pour soulager les voies respiratoires, pour calmer la toux, les maux de gorge. Le miel est un produit énergétique très prisé des sportifs. Il peut facilement remplacer le sucre dans les desserts. Grâce à son pouvoir sucrant élevé, une moindre dose suffira pour avoir un goût sucré. Il est essentiel de choisir un bon miel. Très prisé en hiver, le miel joue bien son rôle lorsque le corps a besoin de renfort. Il stimule les défenses immunitaires. Un indispensable pour bien passer l’hiver Le miel reste un concentré de nutriments, magnésium, potassium, calcium, vitamine B, antioxydants. Le pot de miel, c’est sans contexte aussi important qu’une écharpe bien chaude, une tisane réconfortante. Le miel outre ses qualités pour la santé, il s’invite aussi dans les soins de peau. Il peut en effet réparer les plaies avec son pouvoir cicatrisant. Selon les spécialiste, le miel reste un produit sucré et il ne faut pas en abuser. Une cuillère à soupe équivaut à 60 calories sous forme de fructose, de glucose. Pour profiter pleinement de ses bienfaits, 1 cuillère à café au petit déjeuner sur une tartine, dans un yaourt, c’est la dose conseillé à ne pas dépasser. Il et conseillé de ne pas plonger votre cuillère de miel dans une boisson trop chaude, cela détruirait ses principes actifs. Le miel reste une alternative douce aux médicaments pour les petits bobos de l’hiver. Il aide à combattre certaines affections légères de la gorge. Privilégier les petits producteurs, des apiculteurs locaux afin de choisir un produit brut et non pasteurisé.

La lentilles du Puy en Velay possède une AOP. Cultivée depuis des millénaires, elle est bien plus qu’un aliment. Elle est en effet le symbole de l’histoire, la culture de la région. Son origine remonte à l’époque Gallo-Romaine. Sa renommée s’est étendue au fil des siècles pour devenir aujourd’hui un produit incontournable de la gastronomie Française. Elle possède de multiples qualités nutritionnelles et son goût la rend unique. Les agriculteurs locaux la cultive dans le respect de l’environnement et avec passion. La couleur de la lentille du Puy est très caractéristique, d’un vert pâle avec des marbrures bleutées. Un vrai trésor gastronomique La récolte des lentilles se déroule entre juillet et septembre. Elles sont ensuite triées et séchées avec grain soin afin d’obtenir une qualité sans faille. La lentille du Puy accompagne de nombreux plats. En salade, avec une viande, un poisson, en soupe, elle apporte raffinement et authenticité à la recette. La cuisson des lentilles est très importante. Il ne faut jamais saler l’eau, les lentilles durciraient. Mettez vos lentilles dans un grand volume d’eau, ajouter un oignon, un bouquet garni et comptez 20 minutes après l’ébullition. Egoutter vos lentilles et accommodez les selon vos désirs. Outre son goût très subtil, la lentille du Puy est aussi réputé pour ses nombreuses qualités nutritionnelles. C’est un aliment santé par excellence. Amateurs de lentilles, recette d’une bonne soupe réconfortante C’est la saison idéale pour se régaler d’une bonne soupe. Pourquoi ne pas préparer une délicieuse soupe de lentilles du Puy ? Elle comblera les papilles des plus gourmets. Il vous faudra pour 4 personnes -2 oignons -2 carottes -2 pommes de terre -250 g de lentilles du Puy -2 litres d’eau -du sel, du poivre -du persil -des croutons grillés Emincer vos oignons, vos carottes, vos pommes de terre -déposez le tour dans une casserole avec les lentilles, -couvez avec 2 litres d’eau A table, régalez vous.

Cette question existentielle, on peut se la poser mais la réponse va dépendre de bien des facteurs. Normalement si une personne continue de boire de l’eau, elle peut résister au moins 2 mois sans apport de nourriture si ses réserves graisseuses sont abondantes. Lorsque l’organisme doit puiser dans les protéines, les conséquences peuvent être graves voire jusqu’au décès. Sans boire, on ne peut survivre au delà de 3 jours. Ce sont les résultats d’un groupe de médecins qui a suivi des grévistes de la faim entre 2003 et 2004. Cette durée varie en fonction des individus, de leurs conditions physiques. Dans ce même rapport, les spécialistes rappellent que les patients obèses peuvent tenir 100 jour sans manger ( sciences et Vie). Comment réagit le corps ? Dès qu’il est privé de nourriture, toute une série de problèmes vont survenir. L’organisme va dans un premier temps puiser dans ses réserves, les sucres, les graisses et enfin dans les protéines. Le corps commence alors à s’épuiser. Le rythme cardiaque diminue, la tension artérielle fluctue. En trois jours seulement, les réserves en sucre sont épuisées, deux semaines pour les graisses. Entre le 10 ème et le 30ème jour, le corps va piocher dans les protéines et les tissus vont se dégrader, vertiges, nausées, maux de tête, douleurs abdominales, musculaires, chute de la température. Au bout d’un mois, l’organisme est à la limite et des complications peuvent apparaître, insuffisance rénale, hémorragie digestive, jaunisse. Les personnes vont tomber dans le coma. La volonté joue un rôle déterminant, un membre de l’armée irlandaise est mort en détention en 1981 après 66 jours de grève de la faim. Une semaine sans manger, les conséquences Depuis quelques années, le jeûne est devenu tendance. Il est très plébiscité notamment dans plusieurs religions comme le Ramadan, Kippour, Carême. Dans une étude publiée dans la revue Nature Métabolism rapportée par Sciences Vie, chaque personne s’est prêtée au jeu durant une semaine. Elles ne pouvaient boire que de l’eau. Les scientifiques l’assurent, au delà de 7 jours, les risques pour le cerveau peuvent être importants plus particulièrement pour ceux souffrant de pathologies. Pour cette étude, ils étaient tous en très bonne santé. Durant cette expérience, les 12 participants ont perdu en moyenne 5,7 kilos. Faire une telle démarche reste dangereuses. Il est essentiel avant de se lacer dans un jeûne d’avoir un avis médical. On estime que le corps peut résister 30 jours sans apport de nourriture et même si le mental joue un rôle clé, le corps va finir par s’épuiser petit à petit et cela va entraîner des conséquences pouvant aller jusqu’au décès. Le corps a besoin pour fonctionner correctement d’eau et de nourriture.

Vous digérez mal le gluten ? Pourquoi ne pas modifier votre alimentation ? Changer ses habitudes n’est pas toujours facile. Pourtant, cela peut vous apporter un meilleur confort de vie. Depuis quelques années, le régime sans gluten connaît un réel engouement. De nombreux aliments contiennent du gluten comme le pain, les pâtes, les gâteaux. Cette protéine peut entrainer un vrai désordre intestinale, des allergies, une inflammation de la muqueuse, des douleurs, des diarrhées, une fatigue chronique. Quels sont les bienfaits du sans gluten ? Certaines personnes en parfaite santé, pour garder la ligne se tournent vers le régime sans gluten. L’éviction de cette protéine s’accompagne de changements assez positifs pour l’organisme, un mieux être intestinal. Le sans gluten favorise une meilleure digestion et renforcerait le système immunitaire en cas de réelle intolérance. Il existe de multiples aliments sans gluten comme les fruits, les légumes, la viande, le poisson. Les préparations panées, en sauce, marinées contiennent très souvent du gluten. Il est essentiel de rappeler que le gluten n’est pas une substance indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Vous pouvez l’élimer de votre routine alimentaire sans risque de carence. Le plus important est de compenser par des homologues, des féculents autorisés. Un vrai délice pour les papilles La brioche fait partie des viennoiseries très prisée au petit déjeuner. Elle régale les enfants comme les adultes avec sa légèreté, son goût subtil. Pourquoi ne pas vous régaler avec cette recette sans gluten ? Vous serez surpris du résultat. Il vous faudra; -250 g de farine sans gluten -1 œuf -50 g de sucre -5 g de levure boulangère sans gluten -40 g de beurre -1/2 sachet de sucre vanillé -des zestes de citron -20 cl d’eau -un jaune d’œuf pour dorer la brioche Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre, la levure( séparer bien ces deux ingrédients) -ajouter ensuite l’œuf battu, l’eau, le beurre ramolli, le sucre vanillé, les zestes de citron -vous devez obtenir une pâte bien homogène -couvrez avec un torchon et laissez poser au moins 2 heures dans un endroit chaud -préchauffer le four à 180°c -dégazer la pâte, laissez à nouveau reposer 10 minutes -mettre la pâte dans un moule à cake beurré et fariné, dorer avec le jaune d’œuf et enfourner 25 minutes -sortez votre brioche du four, attendre une trentaine de minutes et dégustez la avec une bonne confiture maison, un vrai régal.

De nombreux nutritionnistes recommandent de dîner tôt soit avant 19 heures. En effet, l’heure à laquelle nous allons prendre notre repas du soir va avoir un impact sur notre santé. L’un des atouts est l’amélioration du sommeil. Plus vous allez prendre votre repas tard et plus votre digestion va perturber votre nuit. Les chercheurs avancent l’hypothèse qu’en dînant tôt, vous allez mettre en place un jeûne de plus de 11 heures et cela aura des effets bénéfiques sur votre santé, notamment sur la glycémie, la tension artérielle, un meilleur contrôle du poids. L’heure du dîner varie en fonction des pays Les Espagnols ne dînent pas avant 21 heures, les Anglais entre 18 et 20 heures. Idéalement, le repas du soir devrait être pris au moins 3 heures avant d’aller dormir. Cela permet aux aliments d’être correctement digérés. Les Français dînent en moyenne vers 19 h 30. Cependant selon les régions, les villes, les horaires diffèrent. Dans la capitale, on dîne vers 20 heures. Dans l’est de la France, on dîne plus tôt car influencé par les habitudes allemandes, on prend le repas du soir entre 18 et 18 h30. L’automne, la rentrée, ne serait ce pas le bon moment pour prendre de bonnes résolutions, celle de dîner plus tôt pour améliorer notre santé, notre bien-être ? De petits ajustements s’imposent Parfois, il suffit de très peu de chose pour améliorer son quotidien, son confort de vie. On peut notamment revoir ses horaires de repas. Terminé le sandwich, les sucreries avalées sur le canapé devant une série vers 21 heures 30. Il est préférable de se mettre à table et de prendre son repas du soir vers 18 h 30. Votre organisme aura ainsi toute la soirée pour digérer et se préparer à une bonne nuit de sommeil. En choisissant de dîner tôt, on améliore sa santé métabolique, on réduit les risques de diabète, du vieillissement prématuré des cellules. Dîner tôt permettrait également un meilleur contrôle du poids. En effet, lorsque l’organisme est privé de nourriture au moins pendant 11 heures, le niveau d’insuline, de lipides baisse dans le sang. Cela se traduit par une libération des acides gras dans le sang dont une perte de la masse graisseuse. Dîner tôt semble n’avoir que des avantages. Allez vous changer vos habitudes et prendre votre repas du soir vers 18h30 ?

Vous allez sans doute trouver cette recette étrange et pourtant, les haricots blancs méritent toute notre attention pour ce type de préparation. Ils sont riches en nutriments. On peut facilement les intégrer à de multiples recettes même sucrées. Avez vous déjà penser aux haricots blancs pour réaliser un dessert ? Riches en fibres, ils vont faciliter le transit, apporter de la satiété. En incorporant des haricots blancs dans une recette, vous serez moins tenté par des envies de grignotage entre les repas. Ce sont des aliments a adopter pour tous ceux qui souhaitent un bien être au quotidien. Un moyen simple de varier les repas Les haricots blancs sont peu caloriques, seulement 67 calories pour 100 g. C’est une excellente option pour les végétariens, les végans. C’est une bonne source de protéines, elles vont jouer un rôle fondamental dans la réparation, la construction des tissus musculaires. Souvent accusés de provoquer un inconfort digestif, ballonnements lorsqu’ils sont consommés en excès. Pour éviter ce désagréments, il suffit si vous utilisez des haricots blancs frais de les faire tremper toute une nuit dans un grand volume d’eau froide. Délicieux en salade, en accompagnement d’une viande, les haricots blancs peuvent aussi être incorporés à une recette sucrée comme le brownie. Pourquoi ne pas réaliser ce dessert, il vaut le détour. Une recette healthy pour se régaler Ce brownie va rester moelleux et très fondant. Vous pourrez même le cuire dans un  » air frayer ». N’oubliez pas si vous utilisez des haricots en conserve, de bien les rincer, les égoutter. Il vous faudra, -400 g de haricots blancs cuits -2 œufs -1/2 tasse de miel ou de sirop d’érable -1/2 tasse de cacao en poudre non sucré -1/4 de tasse de compote de pommes -1/4 de tasse d’huile de noix de coco -1 cuillère à café de vanille -1/2 cuillère à café de levure chimique -1 pincée de sel -des pépites de chocolat Préchauffez votre four à 180°c -beurrez un moule de 20 cm -Dans un mixer mettez les haricots blancs, le cacao, le miel, la compote, le sel, la levure, l’huile, les œufs -mettez la préparation dans le plat, incorporez les pépites de chocolat et enfourner 25 minutes Laissez refroidir avant de déguster.

Le froid, la grisaille se sont installés depuis le retour de l’automne. Quoi de plus agréable que de déguster une bonne soupe au dîner. Ce plat a traversé les âges. Réconfortante, goûteuse, saine, la soupe est très appréciée mais peut elle se consommer tous les soirs ? Les nutritionnistes s’entendent à dire que la soupe joue un rôle clé dans une alimentation équilibrée. Grâce à ses propriétés antioxydantes et anti inflammatoires, la soupe renforce le système immunitaire. Eh oui, la soupe on l’aime Elle réchauffe, elle réconforte, elle apporte à l’organisme tout ce qu’il faut. On peut avec quelques ingrédients simples, sans trop d’effort créer une soupe délicieuse qui ravira les papilles des petits et des grands. La soupe est un plat qui existe depuis toujours. Les premières traces de bouillon remontent à la préhistoire. C’est au moyen âge que le mot  » soupe » est apparu. Depuis les années 2000, la soupe a retrouvé une image plus moderne, plus tendance. Il existe même des bars à soupes ou l’on peut déguster de nombreuses recettes toutes plus délicieuses les unes que les autres. La soupe n’est plus un plat classique. On la mange sur le pouce, on l’emporte dans un mug. Avec une soupe, toutes les saveurs sont mises à l’honneur. Compliquée à préparer, pas vraiment Vous avez envie de garder la forme tout en vous régalant, pourquoi ne pas préparer une bonne soupe pour le dîner ? Il serait dommage de s’en priver. Avec son apport nutritionnel, son petit côté réconfortant et son pouvoir rassasiant, la soupe se suffit à elle même. On peut réaliser une soupe sans trop dépenser. Mixée, avec des morceaux, la méthode de base reste la même. Pour une soupe qui plaira à toute la famille, il suffit

Consommé depuis plus de 5000 ans en Chine, 1500 ans au Japon, le thé vert est apprécié pour ses vertus médicinales et son goût subtil. Il est essentiel de choisir un thé vert de grande qualité afin de profiter pleinement de tous ses atouts. L’emballage a aussi un impact déterminant sur la qualité du thé vert. Il est considéré comme la boisson à la plus forte teneur antioxydante par l’agence nationale de sécurité sanitaire et de l’alimentation. On considère qu’une tasse de thé vert à une teneur en antioxydants 3,5 fois plus élevée qu’un jus d’orange et 4 fois plus que la vitamine C. Un grand nombre de bienfaits pour la santé Le thé vert favoriserait la perte de poids, améliorerait l’état physique et mentale, préserverait de divers cancers, de maladies cardiaques, du diabète. Le thé vert possède également des propriétés antimicrobiennes, il aiderait à combattre les virus comme le rhume, les bactéries. Bien que l’on pense que la caféine contenue dans le thé vert augmenterait la tension artérielle, des études ont démontré que les catéchines présentes réduiraient l’inflammation et améliorerait la circulation sanguine, ce qui peut aider à réguler la tension artérielle. Le thé vert peut être préparé seul ou avec une à deux rondelles de citron ou quelques feuilles de menthe, le goût sera plus subtil. Une préparation ans les règles de l’art Il est recommandé de boire une à quatre tasses par jour et entre les repas. Il est essentiel d’adapter la consommation à ses besoins personnels. Le thé vert existe aussi en gélules. Lorsqu’il est consommé en trop grandes quantités, il peut provoquer des nausées, de l’insomnie, de l’irritabilité, un inconfort digestif. Il peut aussi faire diminuer l’absorption de fer. Le thé vert est déconseille aux femmes enceintes, allaitantes. Si vous prenez un traitement médical, demandez l’avis d’un professionnel de santé quant à sa consommation quotidienne. Il vous faudra

Un samedi soir, des amis arrivent à l’improviste. Vous ouvrez le frigo, vous cherchez une recette de cocktail rapide, mais voilà, l’indicateur de la recette mentionne 10 centilitres de jus, alors que votre verre doseur affiche uniquement des millilitres. Qui n’a jamais ressenti cette petite inquiétude devant une mesure inhabituelle ? Ce dilemme s’invite aussi bien dans la préparation de crêpes que dans celle d’un mojito. Vous vous demandez encore à combien de millilitres correspond 10 centilitres ? La réponse est simple : 10 centilitres équivalent à 100 millilitres. Inutile de douter, il suffit de multiplier la valeur en centilitres par dix et le résultat est immédiat, peu importe la recette. Cette méthode élimine toute hésitation. Vous rêvez de maîtriser les conversions pendant un apéritif improvisé ou lors d’une session pâtisserie ? Les équivalences entre centilitres et millilitres n’auront bientôt plus aucun mystère pour vous.Maîtriser la correspondance entre 10 centilitres et 100 millilitres, c’est aussi comprendre que 0,25 cl équivaut à 2,5 ml, 1 cl donne 10 ml, 5 cl font 50 ml, et 20 cl correspondent à 200 ml. Qui n’a jamais eu envie de dompter les mesures liquides et d’éviter les erreurs de dosage une bonne fois pour toutes ? Laissez-vous porter par cette astuce toute simple… et par le plaisir du geste précis. Convertisseur cl → ml Convertisseur Centilitres → Millilitres Valeur en centilitres (cl) : 0 cl = 0 ml La conversion instantanée de 10 centilitres en millilitres, la méthode facile pour toutes vos mesures Qui n’a jamais été bloqué devant un dosage en centilitres alors que le verre doseur affiche des millilitres ? La méthode facile pour convertir 10 centilitres en millilitres Vous vous posez la question du jour : combien trouve-t-on de millilitres dans 10 centilitres ? La règle universelle est de multiplier la quantité de centilitres par 10 pour obtenir la valeur en millilitres. Le calcul est limpide : 10 centilitres donnent 100 millilitres. Cette règle est valable pour toutes les recettes, du café du matin à la chantilly maison. Vous hésitez entre différentes mesures souvent utilisées ? Rappelez-vous que 1 cl équivaut à 10 ml, 0,5 cl donne 5 ml, 0,25 cl correspond à 2,5 ml. Les conversions les plus pratiques s’affichent dans toutes les recettes : 2 cl valent 20 ml, 2,5 cl équivalent à 25 ml, 5 cl correspondent à 50 ml, 7,5 cl donnent 75 ml, 8 cl correspondent à 80 ml, 14 cl font 140 ml, 15 cl s’élèvent à 150 ml, 20 cl donnent 200 ml, 23 cl équivalent à 230 ml, et 25 cl correspondent à 250 ml. L’astuce ? Penser à la multiplication par 10, elle fonctionne pour tous les liquides, que ce soit l’huile, le lait ou l’eau. En un clin d’œil, les équivalences principales deviennent vos alliées en cuisine : Centilitres (cl) Millilitres (ml) Usage en cuisine 0,25 cl 2,5 ml Dosage d’arôme 1 cl 10 ml Sirop ou extrait 5 cl 50 ml Crème ou alcool 10 cl 100 ml Jus, lait, eau 25 cl 250 ml Préparation majeure Multipliez toujours par dix, cette règle reste valable dans tous les cas. Cette méthode s’applique aussi bien à un gâteau au chocolat qu’à une vinaigrette maison. Vous gagnez du temps et vous évitez les erreurs de proportions. Un chef averti en vaut deux ! Les bases pétillantes des mesures en cuisine, cl, ml, l et dl sous toutes leurs formes Personne n’aime voir une préparation rater à cause d’une erreur de conversion. Mais comment s’y retrouver dans la jungle des unités de volume ? Les différences entre cl, ml, l et dl, vous y voyez plus clair ? Vous hésitez parfois entre les litres, les centilitres ou les millilitres ? Un litre équivaut à 100 centilitres ou 1000 millilitres. Le décilitre est l’unité intermédiaire : 1 dl correspond à 10 cl et à 100 ml, tandis que 10 cl font 100 ml. Ces unités sont partout dans les recettes car elles garantissent une grande précision, surtout lors du dosage du lait, de l’eau ou de l’huile. La quantité varie selon la recette : le centilitre sert pour de petites quantités comme le sirop ou l’alcool, le décilitre s’utilise pour des volumes moyens, typiques des potages ou de la crème, alors que le litre s’adresse aux grandes préparations et à la conservation. Une conversion incorrecte et tout peut basculer, le gâteau peut s’affaisser, la vinaigrette peut devenir trop épaisse, le cocktail manquer de goût. Vous vous interrogez sur l’équivalence entre 100 ml et 10 cl, entre 1 dl et 0,1 l, ou encore entre 10 dl et 1 l ? Quelques repères simples suffisent à éviter les erreurs et à assurer la réussite de vos plats. Unité Équivalence Exemple d’utilisation 1 litre (l) 100 cl = 1000 ml Soupe familiale 1 décilitre (dl) 10 cl = 100 ml Sauce, crème 1 centilitre (cl) 10 ml Sirop, alcool 1 millilitre (ml) 0,1 cl Arôme, extrait Ce système d’équivalences rend la cuisine plus fluide. Savoir que dix centilitres correspondent à cent millilitres peut tout changer ! Vous limitez les mauvaises surprises et vous gagnez du temps lors de la préparation. Les équivalences précises deviennent votre arme secrète, surtout quand la recette indique 20 cl d’eau, 30 cl de lait ou 25 cl de jus de fruit. La rigueur dans le dosage garantit la justesse du plat. Le tableau des conversions courantes de centilitres en millilitres pour des recettes sans stress Vous sentez-vous parfois perdu devant des mesures comme 0,25 cl ou 33 cl ? Les conversions sont vos alliées, surtout pour les créations culinaires exigeant précision et rapidité. Le top des équivalences pour briller lors des recettes Un cocktail réussi ou une pâte à crêpes moelleuse dépend d’une conversion bien réalisée. Besoin de transformer 0,25 cl ? Résultat : 2,5 ml ! Les conversions les plus utilisées sont incontournables pour jongler entre les mesures. Les recettes ne manquent pas de précisions à respecter. Un smoothie réclame 14 cl d’un ingrédient, soit 140 ml. Pour un mojito, 8 cl équivalent à 80 ml. Si vous préparez une mousse

Les Français adorent le chocolat. Depuis la diffusion d’émission comme  » le meilleur pâtissier », de nombreuses personnes s’exercent à des recettes de plus en plus complexes. Le chocolat reste le grand vainqueur, gâteau, tarte, éclair, choux, mille feuilles. Il s’intègre à de multiples recettes. Les gâteaux comme l’opéra, le fondant, la foret noire restent des incontournables. Le chocolat est très apprécié en pâtisserie, c’est une valeur sure. Pour se faire plaisir, pour un anniversaire, un repas en famille, entre amis, pourquoi n pas réaliser un délicieux gâteau chocolat mascarpone ? Passionnément, à la folie Le chocolat évoque les souvenirs d’enfance. Dans les pâtisseries, au restaurant, les salons de thé, le chocolat reste la star. Il se retrouve dans de nombreuses préparations. Il est essentiel de bien choisir son chocolat, le gâteau n’en sera que bien meilleur. Le chocolat pâtissier reste l’élément phare de la recette chocolatée. Si vous souhaitez réaliser un gâteau peu sucré, optez pour un chocolat à haute teneur en cacao. Pour une recette plus gourmande, tournez vous vers un chocolat doux ou au lait. Il est très important de faire fondre le chocolat au bain marie. Découpez le en petits morceaux afin de faciliter une fonte homogène. Selon la recette, il est indispensable de bien tempérer le chocolat afin d’obtenir un résultat lise et brillant. Gâteau au chocolat mascarpone façon Cyril Lignac Quoi de plus gourmand que de finir un repas de fête avec un délicieux gâteau mascarpone chocolat ? Il régalera petits et grands et il reste facile à réaliser. Il vous faudra Chemiser un moule avec du papier sulfurisé et préchauffez le four à 180°c

Connaissez vous ces saucisses typiquement savoyardes ? Elles font fabriquées avec du porc haché, aromatisées avec de la noix de muscade. Elles peuvent être déclinées en différentes recettes, natures, fumées, au choux, au beaufort. On les cuisine le plus souvent avec des pommes de terre et des oignons. Les Diots peuvent être grillées ou cuites à l’eau. On les trouve facilement chez les artisans bouchers, les grandes surfaces. Si vous partez en vacances en Savoie, ne passez pas à côté de ces délicieuses saucisses pour recharger les batteries en toute convivialité. Une saucisse authentique et savoureuse Elles sont incontournables dans la cuisine savoyarde. Aujourd’hui, les Diots sont bien plus que de simples saucisses ce sont de vrais symboles de tradition culinaire Alpine. Qu’elles soient natures, parfumées, elles s’invitent sur toutes les tables. Cuites dans du vin blanc, accompagnées de pommes de terre, de crozets ou de polenta, elles régaleront petits et grands pour de délicieux moments de convivialité. La teneur en matière grasse est limitée, moins de 15%, ce qui leur confère une texture très moelleuse. Ces saucisses peuvent se consommer chaudes ou froides, préparées en plat principal ou en apéritif. Les chefs aujourd’hui réinventent les Diots dans des recettes plus contemporaines tout en respectant leur héritage. Des Diots, un vrai délice réconfortant Dès que les températures baissent, quoi de plus agréable que de déguster un bon plat mijoté. Pourquoi ne pas se laissez tenter par des Diots accompagnées de pommes de terre. Faîtes rissoler vos saucisses sur toutes les faces dans une noix de beurre

Le pan reste un aliment particulièrement plébiscité par les consommateurs. Il reste le fidèle compagnon des repas, des petits déjeuners. Vous pensiez que le pain était un produit complètement innocent et si vos vous trompiez ? Selon plusieurs experts, de nombreux pains vendus en supermarchés pourraient être classés parmi des produits ultra transformés. En effet, des ingrédients comme des conservateurs, des sirops seraient ajoutés à ce type de pain. Comment reconnaitre un pain sain ?Plus de 97% des Français sont contents lorsqu’il y a du pain sur la table. Le pain véhicule des valeurs de partage .  » Je t’aime, un peu beaucoup à la folie » Plus de 6 milliards de baguettes sont vendues chaque année. Le pain reste un aliment privilégié dans une alimentation équilibrée. Il apporte des nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Il est pauvre en matières grasses, riches en glucides, il contient des protéines végétales et des fibres. Plus de 25% de la population achète son pain en boulangeries traditionnelles, 45% en supermarchés. Le pain toutes recettes confondues tient une place de choix dans l’alimentation des Français. Il trouve sa place sur les tables du quotidien, lors des repas de famille. Il symbolise la convivialité, le partage. Les trois critères retenus quant à son choix sont le gout, la fabrication traditionnelle, la fraîcheur. Sans surprise, c’est la baguette de tradition qui arrive en tête du classement des pains préférés. Des substances à risques Les additifs comme les émulsifiants, les conservateurs, le sirop de maïs sont utilisés dans la fabrication de certains pains afin d’améliorer leurs textures, leurs gouts, leurs durée de conservation. Ces ingrédients peuvent provoquer des troubles comme un déséquilibre glycémique, une inflammation chronique, une carence nutritionnelle. Les spécialistes rappellent que manger ce type de pain n’est pas forcément  » toxique » mais il tout de même préférable d’opter pour un pain plus sain, moins transformé. Pour choisir un pain digne de ce nom, le plus important si vous l’achetez en grandes surfaces est de bien lire les étiquettes. Les pains fabriqués à base de graines entières sont plus riche en vitamines, en fibres et en minéraux que ceux conçus avec de la farine blanche. Les pains ultra transformés sont aujourd’hui très présents, il est difficile de les éviter totalement.

Savez vous que la quiche est l’un des plats préférés des Français. C’est d’ailleurs un grand classique de la cuisine française. Cette tarte salée existe dans de nombreuses variations. Elle se compose d’une pâte brisée, d’une garniture à base d’œufs, de crème fraîche, de lardons. De multiples recettes ont été inventées, des plus classiques aux plus originales. Quelle soit à la tomate, aux épinards agrémentée de chèvre, tout le monde a forcément sa recette fétiche. Le succès de la quiche, un vrai régal La quiche est un plat très polyvalent. Elle peut être adaptée à tous les goûts. C’est un plat complet qui peut être servi aussi bien au déjeuner qu’au dîner. Elle se déguste avec une bonne salade craquante chaude comme froide et sa réalisation coûte très peu cher. La quiche constitue un bon repas équilibré Pour un dîner improvisé, pour un repas en famille, facile à préparer, la quiche se décline en de multiples recettes toutes plus délicieuses les unes que les autres. Qu’importe les saisons, les quiches se suivent mais elles ne se ressemblent pas. La garniture donnera l’identité à la quiche. Convivialité, générosité, la quiche épinard chèvre régalera toute la famille, vos invités, un vrai régal. La meilleure recette pour se régaler La quiche épinard chèvre est très appréciée des petits et des grands. Pour la réaliser, il vous faudra quelques ingrédients; -une pâte brisée -400 g d’épinard en branches ou congelé -3 œufs -10 cl de lait -20 cl de crème -1 fromage de chèvre style bûche -30 g de beurre -2 pincées de sel -un tour de moulin à poivre Préchauffer le four à 200°c, lavez les épinards, essorez les et faîtes les revenir dans le beurre mousseux, laissez cuire deux minutes. -Etalez les épinards bien égouttés sur la pâte. -Dans un bol, mélanger le lait, la crème, les œufs, assaisonner. -Répartir la préparation sur les épinards, ajouter des rondelles de fromage de chèvre sur le dessus, enfourner 30 minutes à 180°c. Si vous utilisez des épinards congelés, faîtes cuire à l’eau et pressez les bien afin d’ôter tout le liquide. Vous pouvez aussi faire précuire la pâte dix minutes, elle restera plus craquante. Le fromage de chèvre se marie à merveille avec les épinards. Foncez et réaliser cette recette, vous serez conquis.

Plus de 97% des Français mangent du chocolat quotidiennement soit plus de 7,5 kg par et par personne. Plus de 30% préfèrent le chocolat noir. Dans l’année, il existe deux temps forts pour les achats en chocolat, Pâques et Noël. Le cacao contient de la caféine à hauteur de 0,4% mais aussi de la théobromine à 1,6%. Ces substances participent à la tonicité et à l’éveil. Plusieurs études ont démontré que manger du chocolat permettrait de renforcer les aptitudes cognitives. C’est bon pour la mémoire, la concentration, la réflexion. Le magnésium présent dans le chocolat aiderait à mieux dormir. Le chocolat, lequel privilégier ? Noir, c’est le produit par excellence car plus riche en cacao. Dans le commerce, on trouve du chocolat à 70, 80, 90% en teneur en cacao. Les autres ingrédients sont le beurre de cacao, le sucre de canne. Le chocolat au lait est quant à lui composé de quatre ingrédients, le sucre de canne, le beurre de cacao, la pâte de cacao, le lait en poudre. Le chocolat blanc est plutôt considéré comme un produit classé dans la catégorie confiserie. Le chocolat blanc est conçu principalement à base de beurre de cacao, de sucres et de lait en poudre. Le chocolat noir reste le meilleur en terme de santé. Vous aimez croquer un petit carré de chocolat après votre café, après la pause déjeuner ? Faîtes vous plaisir et optez pour du chocolat noir de très bonne qualité dans le cadre d’une alimentation équilibrée. La recette plaisir pour un petit moment de bonheur C’est tout à fait possible d’allier santé et chocolat. Ce produit est réputé pour ses propriétés antioxydantes, pour ses vertus bénéfiques pour le moral. Il stimule la production de sérotonine souvent appelée  » l’hormone du bonheur ». Ce petit carré de chocolat ou une part de ce délicieux gâteau va vous aider à vous sentir mieux.–Pour un moule de 18 cm, il vous faudra-150 g de chocolat noir de très bonne qualité-80 g de banane en compote-50 g de farine de blé-40 de sucre complet ou de coco-1 pincée de sel-3 œufs-80 g de purée de noisettes Faîtes blanchir les œufs et le sucre, ajoutez la banane écrasée, la purée de noisettes et le sel afin d’obtenir un mélange homogène. Incorporez ensuite le chocolat fondu et la farine, fouettez.-Beurrez le moule et versez la préparation, enfournez 20 minutes à 170°c. Ce gâteau réalisé sans matières grasses est une version saine à la texture moelleuse. Il n’a rien à envier à une recette traditionnelle. Une petite bouchée de ce gâteau, c’est le bonheur assuré.

Pour toutes les personnes intolérantes au gluten ou toutes celles souhaitant simplement réduire la consommation de cet ingrédient, le pain sans gluten reste une bonne alternative. Le gluten est présent notamment dans le blé, l’orge. Il existe dans les rayons des supermarchés, des magasins bio des farines sans gluten permettant de réaliser de délicieux produits avec une texture proche de celle du pain traditionnel. Pour obtenir le meilleur résultat, il est plus judicieux de mélanger plusieurs farines. Les farines sans gluten, une vraie alternative On trouve celle de sarrazin, de riz, de millet, d’avoine, de maïs, de coco, de chia, de lin. On peut avec toutes ces farines réaliser de délicieux pains sans gluten maison. Il suffit de mélanger différentes farines, d’ajouter des graines qui vont enrichir votre pain en saveurs et en nutriments. Il est très important que l’ajout de l’eau soit bien ajusté. Bien souvent les farines sans gluten absorbent davantage de liquide. Choisissez une levure adaptée sans gluten afin d’éviter tout risque de contamination. Grâce à une grande variété de farines, on peut aujourd’hui préparer d’excellents pains maison. Alors pourquoi ne pas vous lancer dans une recette savoureuse et très nutritive. Le pain sans gluten peut se révéler être une très bonne option en terme de nutrition. Le pain sans gluten à la rescousse Il va aider vos intestins à aller mieux et c’est aussi un excellent produit pour se faire plaisir. Le pain reste un aliment de base que nous sommes nombreux à consommer. Il n’est pas toujours bien toléré d’où la nécessité de se tourner vers un produit plus adapté, le sans gluten. Croustillant, moelleux, la meilleure recette de pain sans gluten, ne perdez pas de temps, vous serez conquis. Il vous faudra, -60 g de farine de riz-60 g de farine de sarrazin-100 g de flocons de riz-90 g de graines de lin-70 g de graines de tournesol-1,5 cuillère à café de levure sans gluten-3 cuillères à soupe d’huile d’olive-525 g d’eau chaude-1 cuillère à café de sel Préchauffez votre four à 180°c-Mélangez tous les ingrédients secs et ajouter l’eau chaude, veillez à ne pas mettre en contact le sel et la levure.-Pétrissez jusqu’à obtenir une pâte homogène.-Formez une dizaine de boules d’environ 100 g chacune. Disposez les sur une plaque à four recouverte de papier sulfurisé.

Un parfum d’iode s’invite, la fraîcheur du vent de l’Atlantique s’intensifie, le sel se dépose sur vos lèvres. Vous sentez l’écume, le ressac, la roche glissante sous vos pieds. Ce crustacé si singulier, parfois appelé pouce-pied, intrigue par son apparence et sa rareté. Croquer dans sa chair, c’est s’approprier un morceau d’océan, un privilège réservé à ceux qui osent l’exception. Pourquoi suscite-t-il autant de convoitise ? Quelles légendes, quels défis, quelles coutumes entourent ce joyau marin ? Vous gardez entre vos mains le secret d’un mets recherché, d’un plaisir réservé aux véritables initiés. Laissez-vous transporter par ces histoires iodées et franchissez mentalement les falaises de l’Atlantique, pour tenter de percer le mystère du vrai goût du percebes. Les percebes, un crustacé rare et fascinant Le pouce-pied intrigue dès le premier regard : sa silhouette étrange, un pédoncule charnu d’un noir profond, enveloppé d’une coquille calcaire aux reflets gris, solidement fixé à la roche, ne ressemble à aucun autre animal marin. Rien n’évoque le percebes, ni dans les mers froides, ni sur les marchés côtiers. Il ne s’agit pas d’un mollusque, mais bien d’un crustacé, proche parent du balane, dont il partage la ténacité et l’instinct grégaire. Sur les falaises de Galice, au Portugal ou sur les côtes du Pays basque, il forme des colonies denses, s’agrippant à la moindre anfractuosité, affrontant sans relâche la violence des vagues. Le pouce-pied incarne la vie marine de l’Atlantique, là où l’eau heurte la pierre dans un tumulte incessant. Certains spécimens atteignent 8 centimètres de long, leur coquille épaisse leur servant d’armure contre les prédateurs et les tempêtes. Les pêcheurs locaux aiment rappeler que le pouce-pied défie le temps et les éléments, témoin vivant de la rudesse du littoral. Le cycle de vie et l’habitat des percebes Tout commence à l’état de larve planctonique, ballotée par les courants avant de s’accrocher à un rocher exposé aux assauts de la mer. La croissance est rapide, chaque individu se rapproche de ses semblables pour former des plaques denses, plus résistantes à l’arrachement. Son habitat se limite aux zones battues par les violentes vagues, rendant sa collecte risquée et sa présence sur les étals rare. Les meilleurs sites se situent entre la Galice espagnole et le sud du Portugal, quelques poches persistent sur les côtes bretonnes. Cette rareté s’explique par l’exigence de salinité et de turbulence, conditions vitales à sa survie. Des études menées en Galice révèlent une densité moyenne de 56 individus par mètre carré sur les meilleurs endroits, mais ce chiffre s’effondre sur les zones surexploitées. Le pouce-pied illustre la fragilité de l’équilibre entre abondance locale et vulnérabilité environnementale, rappelant à tous le respect que l’on doit à la mer. La pêche et la rareté, un défi quotidien La récolte de ce crustacé ne ressemble à aucune autre aventure. Les pêcheurs, appelés percebeiros en Galice, défient falaises abruptes et vagues furieuses pour détacher ce trésor de la roche. La récolte des percebes, une quête périlleuse Le danger plane à chaque sortie, une chute, un coup de mer, et la vie bascule. Les méthodes restent artisanales : la main, le couteau, la corde, rien de plus. Les prises s’effectuent à marée basse, dans une courte fenêtre de temps, sous la surveillance d’une réglementation stricte qui encadre quantité et période. Chaque kilo récolté représente une victoire sur l’océan, un triomphe du goût sur le péril. Les quotas sont sévères : en Galice, la limite s’établit à 5 kg par pêcheur et par marée. Un pêcheur galicien confie : « Un jour, une vague m’a arraché du rocher, j’ai cru tout perdre. Mais rapporter ces crustacés à la maison, voir la fierté dans le regard de ma fille, ça n’a pas de prix. » La réglementation et la préservation de la ressource Pays Quota individuel Période de fermeture Contrôles Espagne (Galice) 5 kg/jour décembre à mars surveillance quotidienne Portugal 3-6 kg/jour variable selon région contrôles hebdomadaires France (Bretagne) 1 à 3 kg/jour juillet à septembre contrôles ponctuels La gestion durable de ce fruit de mer s’impose face à la pression du marché. En Espagne, la Galice concentre l’essentiel de la production européenne, avec des périodes de fermeture destinées à la préservation. Le Portugal module les quotas selon les régions et renforce les contrôles sur les zones productives. En France, la pêche reste marginale et très encadrée, la ressource étant plus rare. L’équilibre entre la demande gastronomique et la préservation demeure fragile, la surpêche ayant déjà décimé plusieurs sites historiques en une décennie. Les statistiques du gouvernement galicien révèlent une chute de 30 % des captures sur dix ans, preuve que la vigilance s’impose. La rareté sur les marchés résulte de cette gestion stricte et de la difficulté de l’extraction. La dégustation, une expérience iodée Vous vous demandez comment sublimer ce mets exceptionnel ? La simplicité reste la règle. La préparation traditionnelle, un savoir-faire préservé Les percebes se rincent à l’eau claire, pour éliminer sable et débris marins. Une grande casserole d’eau de mer ou très salée, portée à ébullition, accueille délicatement les crustacés. On couvre, laisse cuire une minute, pas davantage. Le secret réside dans la brièveté de la cuisson, la chair doit rester tendre, le goût d’iode intact, l’expérience brute. Égouttez, servez brûlant, sans fioritures. Les Espagnols ajoutent parfois une feuille de laurier ou du zeste de citron, mais rien ne doit masquer la saveur pure. En Galice, la dégustation prend des airs de rituel familial, la bouche pleine de sel et d’embruns. Les Portugais évoquent l’art d’extraire la chair sans perdre une goutte du précieux jus. Trois conseils reviennent souvent : sélectionner les plus charnus, éviter la surcuisson, savourer chaque bouchée comme un trésor. Sélectionner les plus beaux spécimens Limiter la cuisson à une minute Déguster dans la convivialité, debout autour d’une grande table Ce crustacé se partage, dans le bruit et la joie, rassemblant famille et amis. Les accords mets et boissons, que choisir ? Mets/Accompagnement Boisson idéale Effet en bouche Nature Albariño (vin blanc) Rehausse l’iode, équilibre la salinité À la portugaise Vinho

Une odeur de croissant chaud s’invite dans votre bureau, votre estomac se met à protester alors que la réunion bat son plein. Vos pensées vagabondent déjà vers le tiroir à douceurs ou la machine à café. Qui n’a pas déjà ressenti cette envie soudaine de manger, ce signal pressant qui semble tout balayer sur son passage ? Vous vous croyez doté d’une volonté de fer, pourtant l’appétit impromptu impose sa loi et bouleverse l’équilibre de votre journée. Le besoin irrépressible de grignoter dépasse le simple caprice. Ces envies incontrôlées, souvent incomprises, révèlent des mécanismes complexes et peuvent transformer votre rapport à l’alimentation. D’où proviennent-elles réellement ? Comment y faire face sans culpabilité ni frustration ? Les réponses à ces questions pourraient bien changer votre quotidien. La définition des fringales et leur impact dans la vie de tous les jours Avant de chercher des solutions, il faut cerner ce phénomène qui s’invite parfois sans prévenir dans vos routines. La signification du mot fringale selon les sources officielles et ses synonymes ? Le terme « fringale » désigne une sensation de faim vive, presque brutale, qui apparaît sans crier gare. Le dictionnaire Larousse parle d’un « besoin impérieux et brutal de nourriture ». Le CNRTL évoque une « sensation de faim extrême, subite ». Loin de la faim classique qui suit une dépense d’énergie, l’appétit pressant agit tel un réflexe incontrôlable. Parfois, il se manifeste même alors que votre repas récent semblait suffisant. Les synonymes ne manquent pas : « coup de faim », « appétit soudain », « envie pressante ». Pourtant, la différence se situe dans l’intensité et la vitesse de l’apparition. Tandis que la faim ordinaire s’installe progressivement, la fringale explose et laisse place à l’urgence. Certains parlent de « fringale sucrée » ou « fringale émotionnelle » selon le contexte, enrichissant ainsi la palette des mots pour décrire ce phénomène. « Ce signal court-circuite la raison, pousse à fouiller les placards, même sans faim réelle. Comprendre ce qui distingue une faim naturelle d’une fringale aide à déculpabiliser et à mieux réagir. » L’appétit soudain s’inscrit dans un dialogue permanent entre le corps, l’esprit et l’environnement. Pourquoi ce phénomène courant touche-t-il autant de personnes ? Les conséquences sur la vie quotidienne en révèlent l’envergure. Les conséquences des fringales sur la santé et le bien-être ? Répéter ces épisodes bouleverse l’équilibre du corps et de l’esprit. Sur le plan physique, cela favorise la prise de poids, notamment si vous cédez à des aliments sucrés ou gras. Ces variations brutales de sucre sanguin entraînent pics d’énergie et coups de fatigue, altérant la forme et l’humeur. L’engrenage s’installe : plus de fatigue, donc plus d’envie de sucre, un cercle difficile à briser. Les études récentes révèlent que 38 % des personnes interrogées associent ces envies incontrôlées à une perte de moral et à un sentiment de perte de contrôle sur leur alimentation (Santé Magazine 2023). Le risque de troubles alimentaires augmente : grignotage nocturne, compulsions, perte de la sensation de satiété. Le corps s’adapte mal à l’alternance de privations et d’excès, fragilisant le métabolisme à long terme. Cette réalité mérite toute l’attention de ceux qui souhaitent retrouver un équilibre durable. Les causes inattendues de l’appétit impromptu Bien loin de la simple question de volonté, ces pulsions alimentaires prennent racine dans la biologie et l’environnement. Les facteurs physiologiques et hormonaux qui déclenchent ces envies soudaines ? Le dialogue entre hormones et cerveau influence puissamment ces épisodes. Lorsque la leptine (hormone de la satiété) baisse, l’envie de manger s’intensifie. À l’inverse, une hausse de ghréline (hormone de la faim) suffit à enflammer l’appétit. L’insuline, qui régule le sucre sanguin, peut provoquer des creux soudains si son action se dérègle. Hormone Rôle Conséquence sur l’appétit Leptine Satiété Baisse = envie de manger accrue Ghréline Stimulation de l’appétit Augmentation = appétit soudain Insuline Contrôle du sucre sanguin Dysfonction = pic de faim rapide Cortisol Réponse au stress Excès = attirance pour le sucré ou le gras Le manque de sommeil bouleverse ce fragile équilibre. Les nuits courtes élèvent la ghréline, abaissent la leptine et stimulent le cortisol, expliquant pourquoi vous vous réveillez avec l’envie irrésistible de grignoter. Le rythme de vie et l’horloge interne jouent aussi un rôle important. L’INSERM a révélé en 2022 que près de 60 % des personnes souffrant de troubles du sommeil déclaraient des envies alimentaires accrues. Voilà de quoi repenser la culpabilité souvent associée à ces épisodes. Les aliments et habitudes qui accentuent l’envie de grignoter L’environnement alimentaire et les choix du quotidien participent activement à ce phénomène. Les aliments déclencheurs et les pratiques à risque dans l’apparition des fringales ? Certains aliments attisent l’appétit plus que d’autres. Le pain blanc, les confiseries, viennoiseries, jus industriels ou alcool provoquent des pics rapides de sucre, suivis d’une chute brutale. Ce yo-yo de la glycémie se traduit par une faim factice, source d’envies quelques heures plus tard. Les sodas, céréales raffinées et snacks salés rassasient sur l’instant puis affament à moyen terme Sauter un repas multiplie la probabilité d’être victime d’une attaque de gourmandise plus tard Un rythme alimentaire irrégulier ou des dîners trop légers déséquilibrent la régulation naturelle de la satiété Le grignotage nocturne, lié à l’ennui ou à la fatigue, enferme dans un cercle vicieux. Vous vous reconnaissez dans ce scénario ? Un dîner pris à la hâte, puis une visite au placard à minuit, sans faim réelle. Ce schéma se reproduit dans de nombreux foyers, nuit après nuit. Les modes de vie modernes, entre rapidité et stress, brouillent les signaux du corps et installent ces épisodes alimentaires comme des réflexes automatiques. Le choix et le rythme des repas deviennent alors un acte de bienveillance envers soi-même. Les astuces efficaces pour prévenir et limiter ces envies soudaines Retrouver un rapport apaisé à l’alimentation passe par des ajustements simples et concrets. Les conseils nutritionnels et comportementaux pour contrer efficacement les fringales ? Des aliments rassasiants sont vos alliés. Privilégiez protéines, fibres, légumes croquants, oléagineux non salés. Fractionner la journée en trois

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi un repas copieux s’accompagne parfois d’un regain d’énergie suivi d’une soudaine baisse de forme ? Ce phénomène intrigue et n’est jamais anodin. Derrière ces variations se cache souvent le subtil équilibre du sucre sanguin. Ce paramètre conditionne bien plus que la simple énergie : il influence la concentration, l’humeur et le bien-être général. Les choix alimentaires quotidiens jouent un rôle direct dans cette balance délicate. Vous souhaitez agir en amont sur votre santé, éviter les risques du diabète ou déjouer les coups de fatigue ? Vous êtes au bon endroit. Votre assiette recèle de véritables solutions pour transformer votre vitalité. Les bases du sucre sanguin et du diabète : quels sont les enjeux pour votre santé ? Avant de repérer les aliments à privilégier, il est utile de saisir ce que signifie réellement la gestion du sucre dans le sang. Un bon équilibre, c’est la base d’un fonctionnement optimal de l’organisme. La définition du sucre sanguin et ses fonctions essentielles dans le corps Le sucre sanguin, ou taux de glucose dans le sang, représente l’énergie disponible pour toutes les cellules. Un niveau harmonieux permet au cerveau, aux muscles et à l’ensemble du métabolisme de fonctionner correctement. Un excès ou un manque crée des perturbations, parfois graves, pour l’ensemble des organes. Un système hormonal complexe, où l’insuline et le glucagon jouent les chefs d’orchestre, régule ce taux. Si ce système flanche, les variations deviennent importantes et durables. Surveiller régulièrement le taux de sucre sanguin, surtout à jeun, s’avère indispensable chez les personnes à risque. Ce chiffre n’est pas qu’un indicateur : il reflète l’état global de votre santé. Le lien entre diabète et déséquilibres du sucre sanguin : quels sont les signaux à surveiller ? Le diabète découle d’une perturbation durable de la régulation du sucre dans le sang. Le type 1 touche souvent les enfants, l’organisme cesse de produire de l’insuline. Le type 2, majoritaire, apparaît plus tard et mêle résistance à l’insuline et production insuffisante. Les repères et seuils d’alerte sont alors essentiels : Moment Glycémie normale Seuils d’alerte À jeun 0,7 à 1,1 g/L <0,7 g/L (hypoglycémie) / >1,26 g/L (hyperglycémie persistante) 1h30 après repas <1,4 g/L >2 g/L (urgence) Connaître ces chiffres protège contre les mauvaises surprises. Un suivi attentif du taux de sucre à jeun permet d’anticiper bien des complications. Lorsqu’on tient un lecteur entre ses mains, c’est tout un équilibre interne qui se dévoile. L’alimentation devient alors votre meilleur allié pour garder la main sur ce paramètre-clé. Les principes alimentaires pour conserver un taux de sucre stable : quelles habitudes adopter ? La stabilité du taux de glucose n’est jamais le fruit du hasard. La façon de composer vos repas et de structurer votre journée influence directement ce précieux équilibre. Le choix des macronutriments adaptés à la stabilité du sucre sanguin Les glucides complexes issus de céréales complètes, de légumineuses ou de légumes à index glycémique faible libèrent leur énergie sur la durée. Ce mécanisme évite les hausses soudaines du sucre dans le sang. Vous ressentez une satiété prolongée et dites adieu aux fringales intempestives. Les protéines – œufs, poisson, volaille – renforcent la satiété et modèrent la réponse glycémique. Les bons lipides, présents dans les huiles végétales ou les poissons gras, soutiennent la sensibilité à l’insuline. Privilégier des aliments à index glycémique bas s’impose comme le réflexe gagnant pour soutenir l’équilibre métabolique. La structure des repas et leur fréquence : comment éviter les pics et les chutes ? Vous souhaitez limiter les coups de fatigue et les envies de sucre ? Fractionner l’apport calorique, répartir trois repas principaux et, si besoin, deux collations, sans jamais sauter un repas, constitue la base d’un quotidien stable. Des horaires réguliers et une composition équilibrée limitent les variations du sucre sanguin. Un petit-déjeuner riche en fibres et protéines, un déjeuner complet intégrant légumes et céréales complètes, un dîner léger, composent une routine protectrice. Ce rythme soulage le pancréas et améliore la gestion du poids. La régularité et la diversité, voilà vos alliés ! Fibres alimentaires pour ralentir l’absorption du glucose Protéines pour favoriser la satiété Aliments à index glycémique bas pour limiter les variations Repas réguliers pour prévenir les coups de pompe Les aliments anti-diabète : quels choix privilégier pour un taux de sucre maîtrisé ? Les solutions naturelles abondent pour stabiliser le sucre sanguin. Les fibres, en particulier, sont de puissants alliés. Les sources de fibres et leurs vertus pour la régulation du sucre Légumes verts, lentilles, pois chiches, flocons d’avoine : ces aliments ralentissent l’arrivée du glucose dans la circulation sanguine. Une consommation quotidienne de légumineuses et céréales complètes améliore nettement la stabilité du sucre. Les fibres prolongent la satiété et limitent les envies sucrées. En ajoutant ces ingrédients à vos menus, vous augmentez le volume du repas sans exploser les calories. Les haricots rouges, pois cassés et légumes verts deviennent vos alliés naturels contre les pics postprandiaux. La nature offre des trésors pour réguler l’équilibre glucidique… pourquoi s’en passer ? Les aliments et habitudes à réduire pour garder le contrôle : quelles erreurs éviter ? Certains produits et comportements sabotent la stabilité du sucre sanguin à long terme. Mieux vaut les repérer pour mieux les limiter. Les aliments à index glycémique haut et les comportements à éviter Sodas, pâtisseries industrielles, pain blanc, riz blanc : ces ennemis du métabolisme provoquent des pics de sucre et fatiguent le pancréas. Le recours fréquent aux sucres rapides expose à des complications et accentue les variations indésirables. Les céréales raffinées, biscuits sucrés et desserts ultra-transformés accélèrent l’absorption du glucose. Moins ils figurent dans vos menus, plus l’énergie est stable et les fringales s’espacent. Un mode de vie sédentaire, le stress accumulé et le manque de sommeil perturbent la gestion du sucre dans le sang. L’activité physique, même modérée, augmente rapidement la sensibilité à l’insuline. Bien dormir et gérer les émotions aide aussi à réduire les taux de glucose. Saviez-vous qu’une marche active après le repas diminue le sucre postprandial de 10 à 15 % ? « J’ai longtemps cru que mon manque d’énergie venait du travail ou du café », partage Lise, 46 ans, diagnostiquée en